On assiste à une fragilisation des partenaires européens au sein de l'opération de lutte anti-terroriste "Takuba".
On assiste à une fragilisation des partenaires européens au sein de l'opération de lutte anti-terroriste "Takuba".
C'est probablement l'une des raisons pour lesquelles, après l'expulsion de son ambassadeur au Mali, la France s'est donné deux semaines pour sonder ses partenaires.
Récemment les forces militaires spéciales du Danemark se sont retirées de l'opération Takuba sur sommation des autorités maliennes. La Norvège a également renoncé à rejoindre le groupe.
L'allemagne qui est active au sein de la MINUSMA (mission multidimensionnelle intégrée des nations unies pour la stabilisation du Mali) demande une réévaluation de l'engagement milliaires des européens.
D'autres pays s'interrogent.
Face à cette situation, il est primordial pour la France d'engager une concertation de ses partenaires européens pour être située sur l'avenir de sa présence dans une zone en proie au mouvement djihadistes.
Ainsi les pays prendront dans les 14 prochains jour une décision sur ce à quoi devait ressembler le futur de la lutte contre le terrorisme au Sahel